🔴Top-secret: L'ovni photographié du Concorde qui a défrayé la chronique en 1973

🔴Top-secret: L'ovni photographié du Concorde qui a défrayé la chronique en 1973




our la première fois depuis 1966 (Gerald Ford avait tenu deux audiences concernant des observations signalées dans le Michigan et dans d’autres parties du pays plus tôt cette année-là), une audience publique consacrée aux ovnis s’est tenue au Congrès américain le 17 mai 2022. Lors de l’audition, Scott W. Bray, directeur adjoint du renseignement naval américain a révélé que «plus de 400» phénomènes aériens non identifiés (PAN) avaient été recensés. Un chiffre largement supérieur à celui qu’avait révélé un communiqué du Pentagone en juin 2021, faisant état de 144 cas observés. Le représentant de l’US Navy a expliqué l’augmentation des cas signalés par une « déstigmatisation » des témoins, notamment des pilotes d’avions.

Leurs tĂ©moignages Ă©taient en effet rarement rendus publics, car trop souvent dĂ©crĂ©dibilisĂ©s. Pourtant, de nombreux pilotes ont affirmĂ© par le passĂ© avoir croisĂ© la route de l’un de ces objets volants non identifiĂ©s (ovni) durant leur carrière. Plusieurs de ces tĂ©moignages ont d’ailleurs Ă©tĂ© immortalisĂ©s dans nos archives. L’archive que nous proposons en tĂŞte d’article est assez extraordinaire car elle relate une rencontre « du troisième type » faite dans les airs avec un ovni. Une rencontre d’autant plus marquante qu’elle s’Ă©tait dĂ©roulĂ©e au cours d’une expĂ©rience scientifique, en juin 1973, Ă  bord du Concorde. Cette rĂ©vĂ©lation avait fait sensation Ă  l’Ă©poque, avant d’ĂŞtre rapidement dĂ©mentie.

En juin 1973, une Ă©quipe d’astrophysiciens avait organisĂ© une mission scientifique Ă  bord de l’avion supersonique français pour suivre le parcours d’une Ă©clipse solaire. La mission « Eclipse 1973 » avait filmĂ© et photographiĂ© le spectacle durant 74 minutes, en restant dans l’ombre de la Lune. La tĂ©lĂ©vision avait largement couvert l’évĂ©nement unique en son genre.

Quelques mois plus tard, trois des membres français de l’expérience dévoilaient dans le journal télévisé de 20h00 une information extraordinaire : durant la poursuite du soleil, ils avaient capturé l’image d’un ovni. Une image prise au-dessus du Tchad qu’ils n’avaient découverte qu’avec le développement des milliers de clichés pris pour l’expérience, et que le présentateur du journal présentait aux téléspectateurs.
Un cliché inattendu

Sur l’image on apercevait un point lumineux, entourĂ© d’un cercle se transformant en disque Ă  force d’agrandissements. Un disque aux contours nets apparaissait Ă  l’écran, le journaliste prĂ©cisant que les techniciens de l’Institut d’astrophysique de Paris « avaient pris leur temps » pour vĂ©rifier sa vĂ©racitĂ©, « avant de le prĂ©senter » publiquement.

De fait, pendant plus de sept mois, les scientifiques avaient envisagé toutes les hypothèses possibles, « de l’illusion d’optique à la foudre en boule », précisait le présentateur, pour en arriver à l’hypothèse la plus surprenante, celle de la « soucoupe volante ». Le journaliste prononçait prudemment les lettres composant l’acronyme O.V.N.I., rappelant qu’elles signifiaient « objet volant non identifié » et ajoutant qu’à l’Institut d’astrophysique, on se gardait bien d’attribuer à ce cliché « une quelconque valeur scientifique ».

Toutes ces prĂ©cautions prises, ce 31 janvier 1974, trois membres de la mission avaient acceptĂ© de raconter Ă  Michel Chevalet leur dĂ©couverte aussi incongrue qu’inexpliquĂ©e. La photo prĂ©sentĂ©e plein cadre allait d’abord ĂŞtre commentĂ©e par l’un des photographes de la mission. Il expliquait dans quel contexte elle avait Ă©tĂ© prise, juste après l’éclipse, Ă  travers le hublot de l’appareil. Il prĂ©cisait qu’il n’avait rien vu d’anormal lors de l’expĂ©rience dans le viseur de l’appareil et que ce n’était qu’au moment du dĂ©veloppement qu’il s’était aperçu « qu’il y avait quelque chose d’insolite sur ce clichĂ© ».
Un objet Ă©trange

L’astrophysicien Serge Koutchmy, Ă  son tour interrogĂ©, dĂ©clarait avoir pratiquĂ© une expertise de l’image mĂ©ticuleuse. Il affirmait « que l’on pouvait très raisonnablement exclure toute une sĂ©rie d’effets optiques ou photographiques d’origine accidentelle ». Mais sa rĂ©vĂ©lation s’avĂ©rait particulièrement troublante. Selon lui, l’objet Ă©tait immobile, se situant Ă  15 ou 20 km du Concorde, avec une dimension « de l’ordre d’une centaine de mètres », et obligatoirement situĂ© dans la stratosphère, au-dessus de l’avion.

Michel Chevalet interrogeait ensuite le professeur Jean-Claude Pecker (directeur de l’Institut d’astrophysique de Paris de 1972 Ă  1979) sur l’emploi du mot « objet ». Visiblement embarrassĂ©, le scientifique parlait d’une « image » et ajoutait « moi aussi ça me gĂŞne. En fait, nous ne savons pas ce que c’est. Nous avons un Ă©lĂ©ment unique, un clichĂ© unique ». Il pouvait nĂ©anmoins affirmer qu’il ne s’agissait ni d’une erreur technique ni d’un reflet, tout en ignorant sa nature. Ă€ l’évocation du mot « soucoupe volante », Jean-Claude Pecker restait prudent, prĂ©fĂ©rant parler de « phĂ©nomène stratosphĂ©rique ».

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